Une nouvelle randonnée dans les Pré-Pyrénées ariégeoises près d'Ax-les-Thermes démarre tranquillement par une descente, puis se poursuit sur un parcours en faux plat. Quelques montées pas très difficiles nous mènent à 1600 mètres, où nous faisons une pause déjeuner derrière un relais d'antennes. La descente, tout aussi paisible, nous offre de magnifiques vues sur les Pyrénées. Le retour vers la voiture est facile, sans aucune difficulté.
Une randonnée d'après-midi près de Toulouse débute au lac de Thésauque, près de Nailloux. Nous avons suivi un itinéraire trouvé sur Visorando pour augmenter la distance et élargir notre exploration au-delà du simple tour du lac. Cette après-midi d'automne ensoleillée était encore très chaude.
Changement de cap vers le nord-est pour cette nouvelle randonnée en compagnie de Jacques et Soul. Nous avons entrepris une belle boucle sous un soleil de plomb, heureusement plutôt ombragée, offrant de magnifiques paysages arides où les ruisseaux annoncés sur la carte avaient disparu en raison de la sécheresse de cette fin d'été. Notre pause déjeuner s'est déroulée sur un petit muret très agréable, et bien que nous ayons envisagé une sieste, il nous restait encore du chemin à parcourir jusqu'à Bruniquel. La montée vers le village s'est révélée ardue après le déjeuner, particulièrement sous ce soleil écrasant. Le réconfort est venu sous la forme d'une bière pour Jacques, tandis que le cidre s'est avéré excellent, accompagné d'une petite douceur. La descente vers notre point de départ ne présentait aucune difficulté, et la boucle s'est terminée sans encombre le long de l'Aveyron.
Après une dernière randonnée qui nous avait un peu refroidis, nous nous sommes lancés dans l'aventure de l'Étang Bleu. Le départ a été chaotique, car le GPS de notre téléphone nous a menés au mauvais point de départ. Nous avons donc repris la voiture pour arriver au bon endroit. La randonnée a démarré doucement, avec un faible dénivelé sur un chemin forestier, puis elle s'est intensifiée avec des pentes abruptes. Une fois arrivés à l'Étang, Jacques est monté sur un pic pour prendre quelques photos, puis nous avons fait une pause repas. Le retour vers le point de départ s'est fait par une boucle descendant régulièrement, et Jacques a de nouveau souffert avec ses Merell. En arrivant à la voiture, je me suis rendu compte que j'avais laissé la fenêtre grande ouverte, et Soul a refusé de remonter dans la voiture, repartant en arrière. Malgré ces péripéties, cette randonnée s'est révélée plutôt agréable, nous faisant oublier la précédente.
Une très belle randonnée dans le massif du Montcalm, débutant à l'étang de Soulcem. La journée commence sous un temps clément, pas trop chaud, avec dés le départ un bon dénivelé. Cependant, au fur et à mesure que nous avançons, la randonnée devient plus difficile. Nous pénétrons dans une forêt d'azalées et perdons la trace. La densité de la végétation devient si dense que je suis contraint de porter Soul pour progresser. Après environ une demi-heure, nous nous retrouvons face à un obstacle infranchissable. Nous décidons alors de redescendre et réalisons que la piste se trouvait en fait de l'autre côté du ruisseau, devenu un torrent. Nous cherchons un passage à gué, mais Soul refuse de traverser, nécessitant ainsi un "jeter de chien". Une fois sur la bonne voie, je ressens une grande fatigue. Nous atteignons enfin un plateau, bien loin du milieu du parcours. Après le repas, nous décidons de rebrousser chemin (en raison de ma grande fatigue). La descente s'avère difficile pour moi à cause de la fatigue, et pour Jacques en raison de ses chaussures Merrell qui lui causent des douleurs, sans oublier le "jet de chien" pour traverser à nouveau le ruisseau. Nous parvenons enfin à la voiture, avec le sentiment que cette randonnée n'était pas des plus agréables.
La première randonnée avec Marie, la femme de Jacques, s'est déroulée à trois avec Soul, dans des conditions météorologiques plutôt fraîches et venteuses, mais avec du soleil perçant à travers les nuages dans cette région de la montagne noire nous menant jusqu'au pic de Nore. Marie a rencontré des difficultés dès que la pente est devenue plus raide. Une fois arrivés au sommet, après avoir traversé des zones très boueuses, nous avons pris notre repas face à la magnifique chaîne des Pyrénées. La descente a été longue mais relativement facile, bien que Marie ait souffert, la longueur de la randonnée s'étant révélée excessive pour elle.